Il se lève enfin le grand soleil triomphant
Que l’on n’attendait plus les chœurs les chants résonnent
Pour lui rendre hommage La foule oh oui foisonne
À ses pieds et tremble au son pur des olifants
Regardez donc courir pleins de joie les enfants
S’égayer les oiseaux que l’hiver emprisonne
En sentant la chaleur naître les amazones
Danser nues dans les bois en riant tels des faons
Le voilà le seul roi le puissant empereur
Qui ne craint vraiment rien qui chasse la terreur
Et les vils mécréants sans nulle dignité
Personne ne peut le vaincre ou l’anéantir
D’un rayon il guérit les incommodités
Et chasse les méchants sans onc s’appesantir