Toi qui brises les flots de la mer en furie
D’un coup de trident et détruis les fiers vaisseaux
D’un simple souffle je vénère tes assauts
Comme il se doit car tu combats les incuries
La folie des hommes leur vile barbarie
Eux qui ne respectent vraiment rien du ruisseau
À la fleur qui pousse en véritables pourceaux
Que j’aimerais voir leur arrogance tarie
Mais c’est là le moindre des soucis de nos dieux
Car nous ne sommes que des fourmis à leurs yeux
Et nos vies ne valent pas plus qu’un long soupir
Oui toi Poséidon seigneur des océans
Que ta rage contre nous puisse s’assoupir
Pendant quelques ères écoutant ce péan