À T. Lobsang Rampa
Au cœur de notre être sommeille un troisième œil
Beaucoup plus puissant que les physiques deux autres
Ce dernier nous permet de tout l’univers nôtre
Pouvoir explorer en repoussant notre seuil
De connaissance qui ne s’arrête au cercueil
Comme voudraient nous le dicter ceux qui se vautrent
Dans la matière et qui se veulent les apôtres
De ceux qui savent tout du fond de leur fauteuil
Il y a des secrets cachés au fond de l’âme
Qui ouvrent les portes de l’éden ou des flammes
Prends garde à toi toi qui arpentes ces chemins
Car il est facile de bien s’y égarer
De voir les illusions de quelques parchemins
Prendre forme devant son regard effaré