À Francis Ford Coppola
Au cœur de la jungle se cachent des secrets
Qu’il ne faudrait jamais non jamais exhumer
D’horribles cadavres follement parfumés
D’excréments de napalm Même les verts bérets
Tremblent à leur pensée fuyant cette forêt
Dès que c’est possible Par un soir embrumé
Un grand guerrier a en effet vu consumer
Son esprit devenant un vil coupe-jarret
Celui qui le vaincra gagnera ses pouvoirs
Sans avoir à rougir sans devoir s’émouvoir
Et deviendra le roi d’un étrange royaume
Peuplé de spectres et d’âmes énigmatiques
Le reconnaissant leur le recouvrant de baume
Ouvrant les portes d’un monde fantomatique