La plus grande faiblesse du capitalisme est le lien étroit qu'il entretient avec la consommation des biens et des services. Le jour où les gens se rendront compte qu'ils possèdent tout ce dont ils ont besoin pour mener une vie agréable et saine ou que les producteurs de biens et de services auront épuisé leurs stocks d'idées, alors le capitalisme sera confronté à la plus grande crise existentielle qu'il lui soit permis d'envisager. Mais que les plus fervents adeptes du capitalisme se rassurent, ce jour n'est pas près d'arriver, tant la bêtise des uns et des autres semble inépuisable...