Mais qui donc a touché oh mes purs vêtements
Avec tant de foi pour guérir sa maladie
Va désormais en paix chante mes mélodies
Et rends grand témoignage avec enchantement
Oui sœur évite pour toujours l’envoûtement
Du démon qui était en ton corps perfidie
Te laissant du matin au soir tout étourdie
Faisant couler ton sang sans arrêt vertement
Que tous puissent voir la puissance du Seigneur
À travers toi femme pour qui les rimailleurs
Ont bien peu de valeur face à la vraie parole
La parole qui sourd du fond de notre cœur
Quand nous le suivons quand nous ne jouons de rôle
Lui seul est saint Lui seul est l’éternel vainqueur