Oh entends-tu ce cœur battant dans ta poitrine
Ce cœur qui brûle et qui brûle depuis toujours
Préférant la nuit et ses ombres que le jour
Épuisé fatigué par toutes les doctrines
L’entends-tu celui qui t’appelle et tambourine
À chaque seconde du terrestre séjour
Liberté liberté tu es comme un ajour
Creusé dans le dôme de ce qui nous chagrine
Peut-être y a-t-il un autre monde oui un monde
Caché au plus profond de soi loin de l’immonde
Hypocrisie loin de l’affreuse cruauté
Écoute écoute écoute écoute écoute écoute
Tous les secrets sont là en toi sans primauté
Tout ce que connaître tu dois est sur ta route