Toi qui connais l’hébreu tu connais le shomer
Celui qui garde les morts avant que leur âme
Ne continue son long voyage vers les flammes
Ou les pâturages célestes fort charmeurs
Il sait tout de la mort des humeurs des tumeurs
De la métempsycose et des secrets des brahmes
Il a lu la Torah plus de cent fois Infâmes
Sont ceux qui méprisent cet être le shomer
Il chante les psaumes durant plusieurs nuits
Épargnant aux défunts les plus affreux ennuis
Et la solitude qui tue à petit feu
Cette protection est paraît-il primordiale
Son amour détaché est bien loin d’être un jeu
Ou un simple travail dans le cérémonial