C’est dans le beau pays des Mille et Une Nuits
Que sont nés bon nombre de ces ardents sonnets
De l’imaginaire et de ce souffle qui naît
Comme par magie en nos cœurs et sans ennui
Du matin au soir et de midi à minuit
Voilà un grand mystère oui je le reconnais
Que nul ne peut percer Un très vieux vase ornait
Paraît-il la chambre de deux dieux épanouis
Que leur passion brisa doux et tendres ébats
Libérant tous les mots que l’on croise ici-bas
Les laissant s’épandre parmi nous les mortels
Qui ne le méritons non absolument pas
N’oubliez jamais que ce fut accidentel
Vous qui croyez tenir le vent des principats
(Introduction au futur recueil "Mille et Un Sonnets" – titre provisoire)