Ô toi grand conquérant des steppes infinies
Nous chantons aujourd’hui ton beau doux et saint nom
Bel hommage nous te rendons et inclinons
Charitablement nos têtes sans félonie
Sur ton passage toi qui as l’ignominie
Vaillamment combattu C’est au son des canons
Que tu l’as fait taire cet infernal chaînon
L’affreux visage de la pure tyrannie
Jamais plus courage et bravoure n’ont été
Magnifiés que lors de ton règne cet été
Bien trop court pour celles et ceux te chérissant
Parfait guide d’une nation où la noblesse
Avait encore un sens loin des fous flétrissant
Tout de leurs crachats et de leur propre faiblesse