Rusé comme un renard voilà comment Ulysse
A traversé la vie et les plus grandes mers
Nous le connaissons tous et ses larmes amères
Sur son île perdue sont un curieux délice
Ses aventures sont tel un très long supplice
Ne connaissant de fin entre rêve et chimères
Entre l’éternité et l’étrange éphémère
Nous l’y suivons avec joie un peu de malice
Ô toi qui fus un très bon roi un légendaire
Héros que le monde de nos jours considère
Encore quel plaisir de te savoir en paix
Ayant retrouvé la fidèle Pénélope
Le jeune Télémaque et Nestor aux épais
Savoirs dont la sagesse enfin bien t’enveloppe