Quoi que l’on ait fait en cet univers c’est seul
Que l’on s’élève vers le royaume de Dieu
Il faut abandonner tout ses plus amis vieux
Comme sa fortune faire de son linceul
Un beau costume de son cercueil en tilleul
Un palais d’or et de feu de ses fiers yeux
De simples opales Les plus hauts montagneux
Sommets se franchissent c’est ainsi vraiment seul
Ne te retourne pas un monde traversé
Se doit d’être oublié les mains qui t’ont bercé
Tout autant Une simple hésitation et tu
Es perdu retombant au fond de la vallée
Reprenant encore et encore la mêlée
En sachant cela tu connais grande vertu