Il est une pierre qui danse dans mon cœur
Le fait battre plus fort que les grosses timbales
Au fond de l’orchestre quand les notes dévalent
De la fosse aux gradins en dix mille couleurs
Ton vert si intense n’est d’aucune douleur
Pour moi toi qui sais si bien charmer l’ovale
De mes yeux et l’esprit qui m’habite régal
Ultime et guérisseur écartant la rancœur
Quand je t’observe c’est comme si j’observais
Un être insaisissable et si je le tenais
Entre mes doigts gourds froids tellement maladroits
Quand je te caresse un corps de femme apparaît
Réclamant toute la douceur qui est son droit
Tout ce que je croyais connaître disparaît