Le décès récent de Jacques Delors est plus que symbolique : il marque pour ainsi dire la scission entre les anciens dirigeants européens qui savaient ce qu’ils faisaient pour le bien commun et les nouveaux qui n’ont pas la moindre idée de ce qu’ils font. À l’image de Charles "Winston" Michel, prêt à mettre le continent à feu et à sang simplement parce qu’il n’avait pas été pris au sérieux par Vladimir Poutine il y a quelques années…