Au risque de décevoir certaines personnes, la première fois que j’ai entendu parler d’intelligence artificielle performante, c’était au début des années mille neuf cent nonante : un réalisateur américain fortement imbibé dont j’ai oublié le nom qui se plaisait à raconter devant la caméra que tous ses scénarios avaient été écrits par un programme à cinquante dollars…