J'ai toujours eu beaucoup de mal à comprendre la fascination exercée dans l'imaginaire collectif de l'humanité par les astronautes. En effet, les premiers étaient simplement des cobayes qui ont succédé aux canidés et aux chimpanzés, tandis que ceux d'aujourd'hui sont juste des mécaniciens qui sont là pour assembler les pièces d'un quelconque puzzle ou, au mieux, des scientifiques en mal d'aventure qui s'imaginent qu'ils n'y a plus rien à apprendre sur le plancher des vaches et que la Terre est plus belle à contempler quand on se trouve à dix ou quinze années-lumière d'elle...