samedi 29 février 2020

Le coronavirus n'existe pas


Voilà bien un titre qui ferait tiquer n'importe quel virologue diplômé. Cette petite bestiole est bien sûr réelle, mais c'est ce qu'on essaie de vous faire croire qu'elle est qui n'est pas vrai, à l'image, par exemple, de ce qu'on vous a dit du sida dans les années mille neuf cent quatre-vingts, à savoir une menace pour l'humanité tout entière. Ce que vous confirmerait d'ailleurs le même virologue dont nous avons parlé quelques lignes plus haut, du moins s'il n'est pas guidé par l'appât du gain et le besoin irrépressible de notoriété, qui sont, comme nous le savons malheureusement tous, deux des vices les plus profondément ancrés dans le cœur des hommes.
Mais alors, me demanderez-vous, pourquoi tant de cinéma pour quelque chose qui ne mériterait en temps normal qu'un petit article dans les revues médicales ? Vous ne vous vous en rendez peut-être pas compte, mais notre époque est une période de grand changement pour notre espèce. Grâce à l'informatique, la numérisation et l'intelligence artificielle, nous sommes en train d'évoluer plus vite qu'à aucun autre moment depuis notre arrivée sur cette pauvre planète qui n'avait rien demandé, nous entraînant vers des niveaux de conscience et de liberté jamais atteints. Les castes qui nous dirigent depuis la nuit des temps le savent quant à elles très bien, mais elles n'y sont pas préparées et tremblent par crainte de voir leurs privilèges s'évaporer aussi rapidement qu'une goutte d'éther sur une toile cirée. Elles ont besoin de temps pour digérer ces nouvelles informations et espèrent bien entendu, mues par l'avidité et la soif de domination, trouver un moyen d'empêcher les terriens de s'émanciper et de s'éveiller, si l'on peut s'exprimer ainsi. Et comme le disait je ne sais plus quel grand sage, le meilleur moyen de contenir un peuple est de le maintenir dans la peur. Il faut absolument lui prouver qu'il a besoin d'un pays ou d'une banque pour vivre ou survivre, qu'il n'est pas d'autre réalité que celle qui lui est montrée et enseignée au sein de sa nation, que nous appellerons donc ici avec une certaine témérité l'unité de base de la domination idéologique planétaire. "Sans elle, tu mourrais de faim, de froid ou de chaud et la maladie te rongerait comme un vers ronge un trognon de pomme."
Bon, je vais vous laisser ici pour le moment, parce que je ne sais pas ce que j'ai, mais je n'arrête pas de tousser et on dirait que j'ai un peu de fièvre...

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