Quand on voit comment les socialistes wallons se prosternent et n'osent rien dire devant Di Rupo, qui est tout de même, il faut bien le reconnaître, un petit maigrichon qui ne se relèverait pas si on lui retournait une paire de baffes, j'ai beaucoup de mal à comprendre comment certains travailleurs au sein de certaines administrations se sentent terrorisés face à leur échevin responsable, comme ils osent parfois l'admettre sous le couvert de l'anonymat...