Le rapport à la solitude est certainement l'un des meilleurs moyens de jauger de l'état d'avancement d'un esprit. Là où le sot se sentira mal après deux jours (ou deux heures...) sans babillage insignifiant et continuel, le sage y trouvera une formidable bouffée d'oxygène au cœur d'un monde frénétique, agité et insensé.