Lorsque je me promène dans d'anciennes cités ouvrières, je suis toujours frappé par certains de ces petits vieux et certaines de ces petites vieilles qui se traînent nonchalamment sur les trottoirs, le regard vide, résigné ou usé mais semblant pourtant être encore prêt à dire à tout moment "je f'rai tout s'que vous voudrez, not'bon m'sieur..."