Quand on a les moyens de débloquer des millions pour les migrants, les demandeurs d'asile ou les petits enfants qui meurent de faim à l'autre bout du monde et que l'on ne fait rien pour éradiquer la pauvreté au sein de sa propre population, c'est qu'il y a un problème de gestion et de priorités. C'est comme ça, qu'on le veuille ou non...