Je pensais ce matin à Nuremberg. Au procès. Et à ceux qui ont suivi. Et je me disais que si parmi tous les condamnés à mort il y en avait un seul qui ne la méritait pas, cela faisait des personnes qui ont prononcé les sentences des coupables. Pas autant, bien sûr, que les responsables des millions de victimes engendrées par le conflit et ses atrocités collatérales, mais des coupables tout de même...