Agni tu es le feu tu es le sang qui coule
Dans nos veines ainsi que dans celles des dieux
Nos offrandes c'est bien toi qui vers les cieux
Les mènes Les flammes qui dansent et qui roulent
De jour comme de nuit semblent comme des moules
Enserrer nos âmes pour nous rendre audacieux
Et respectueux Pour toi sont les mets précieux
Ainsi que les parfums délicats Je me saoule
Pour me rapprocher de toi du divin soma
Car je sais que cela ne pourra mon karma
Ternir Ô grand Agni sache combien j'aime
Te retrouver aux temps de détresse ou de joie
Quand les cadeaux des pieux tu dévores ces proies
Qui te sont consacrées par nos mains plutôt blêmes