Lorsque l'on trouve une pièce de cinquante cents dans la rue, est-on censé la rapporter aux objets trouvés ?
samedi 25 juin 2016
vendredi 24 juin 2016
De la politique
On appréhende en général la politique au travers de slogans simplistes. Ensuite, petit à petit, on découvre parfois étonné les ouvrages et les penseurs qui ont permis à ces slogans de voir le jour...
mercredi 22 juin 2016
samedi 18 juin 2016
vendredi 17 juin 2016
dimanche 12 juin 2016
samedi 11 juin 2016
EMBRYON ORIGINEL
Tu es tout le monde ; tu es à la fois ton propre père, ta propre mère, ton voisin de palier, le type qui vend des glaces dans la rue, bref, tu es tous ceux que tu as un jour croisés et tous ceux que tu ne croiseras jamais.
mardi 7 juin 2016
lundi 6 juin 2016
dimanche 5 juin 2016
samedi 4 juin 2016
vendredi 3 juin 2016
C'est que pour la rime...
Trop de science mène à l'inconscience. Ou à l'insouciance. Ou à l'impatience. Ou...
L'enchanteur
Voilà plus de trente ans maintenant que je passe le plus clair de mon temps au fond de ma grotte avec pour seule compagnie de vieux grimoires poussiéreux. Il en résulte une profonde incapacité à communiquer et à interagir avec les autres, ce qui fait que je peux passer pour un parfait abruti en certaine société...
jeudi 2 juin 2016
LA VIANDE HUMAINE, C'EST L'AVENIR !
[Paris, 2053]
Quand nous avons commencé à développer notre produit, Monsieur Germain et moi, on nous a traités de fous, comme c'est d'ailleurs bien souvent le cas lorsque quelqu'un a des idées un tant soit peu nouvelles. C'était il y a près de vingt ans, je m'en souviens comme si c'était hier.
Nous nous sommes rencontrés, Monsieur Germain et moi, au bistrot du coin. Il dirigeait une entreprise de pompes funèbres qui avait bien du mal à se montrer rentable et à résister à la concurrence, de plus en plus féroce dans la région.
Nous avions tous deux un peu trop bu, et l'alcool nous a peut-être aidés à jeter les bases de notre projet. Pour qu'il soit intéressant financièrement parlant, nous avons alors estimé que la marchandise devait être écoulée à plus ou moins trois mille euros le kilo.
À ce prix, nous visions évidemment une clientèle particulièrement aisée, mais espérions du bout des lèvres que l'intérêt grandissant du public nous permettrait de mettre en place des élevages et des réseaux de distribution tels que nous les connaissons aujourd'hui.
Notre premier acheteur fut un émir de Bornéo qui, après une première commande de trente kilos, nous réserva le même poids tous les mois, preuve s'il en est de la qualité de notre production. Petit à petit, les clients se firent de plus en plus nombreux et nous commençâmes à grandir, grandir...
Nous comprîmes alors qu'il était très important, pour pérenniser notre business, de diversifier notre offre, en variant les saveurs, tout en conservant le côté artisanal et familial de notre entreprise. Et en respectant tous les critères de l'agriculture biologique et le bien-être de nos bêtes, bien entendu !
Chacun sa merde ?
Aux syndicalistes qui clament haut et fort que c'est grâce à eux que les travailleurs ont obtenu de nombreux avantages comme les congés payés ou encore l'assurance maladie, je réponds tout d'abord que je ne leur ai personnellement rien demandé et, ensuite, que ces mesures (et toutes celles qui pourraient être instaurées) ne servent au final que le système qu'ils pensent combattre, qu'elles ont simplement été mises en place pour que les esclaves acceptent dans la joie et la bonne humeur leur statut et, surtout, que ces derniers s'imaginent qu'ils sont libres de faire ce que bon leur semble.
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