Nous avons déjà déterminé, mais il ne nous semble pas inutile de le rappeler ici, que les politiciens ne sont, au final, que des gestionnaires d'argent public. Pourquoi donc s'entêter à continuer à entretenir une multitude de bourgmestres, échevins, députés, ministres et autres coupeurs de rubans alors qu'un simple ordinateur centralisé, même pas trop perfectionné, pourrait faire cela bien mieux, et ce sans la moindre avidité ni ambition personnelle ? Sans parler du risque d'erreur ou de fraude presque réduit à néant, bien entendu...