Il est un lac perdu au cœur de la forêt
Ses eaux sont si pures que l'on peut s'y mirer
Et le soleil couchant aime à ses mordorés
Reflets répandre sur ses ondes L'intérêt
Des oiseaux migrateurs pour ce lieu est très
Ancien et de ce fait aux portes du sacré
Des quatre coins du monde ils viennent admirer
La quiétude de cet endroit qui semble extrait
D'un songe vaporeux Au pied d'un séculaire
Chêne je m'endors à présent Le tutélaire
Ange gardien qui l'habite me rejoint
En mes rêves et me guide vers l'angulaire
Territoire de ceux qui un jour m'appelèrent
Ici J'ouvre les yeux Voici la fin de juin