samedi 31 mai 2014

 
En cas de traumatisme (psychique et/ou physique) grave, il existe plusieurs façon pour notre esprit de s'adapter. Parmi celles-ci, les plus courantes sont l'oubli ou le déni total et le ressassement inlassable dudit traumatisme. D'un point de vue purement thérapeutique, pour le bien de la communauté et de la "victime" (et le nôtre, au passage...) privilégions l'oubli ! À trois, vous ne vous souviendrez plus de tout cela... Un... Deux...
 

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