Toi qui vivais dans le péché et la luxure
Sans aucunement t'en repentir tu payas
Ton effronterie de ta vie il se fraya
En effet un chemin jusqu'à toi le feu pur
De la dévastation et dans la nuit obscure
De ton évanescence il rit et s'empara
Des âmes des tiens aux autres il pardonna
Car ils s'étaient soumis devant ses écritures
Prosternés face à sa puissance et ses éclairs
Sulfureux pourquoi donc laissa-t-il le doux air
Qui maintient vivant gonflant torse et poumons
M'abreuver moi qui de tous était de la chair
Le plus assoiffé j'ai pu reprendre la mer
Pour le rapporter à tous mes amis démons