lundi 29 juillet 2013

MOLLY MALONE


Où donc es-tu douce Molly Malone qui dans
Les rues de Dublin vendais des coquillages
Dans une charrette pour unique étalage
À tous tu souriais de bon cœur et tes dents

D'albâtre affriandaient nombre de jeunes gens
Entraînant même les nobles dans ton sillage
Es-tu cette ombre que la fièvre anthropophage
Emporta une nuit noire vas-tu errant

Dans les venelles de la ville sombre comme
L'espèrent en chantant de nombreux gentilshommes
Riches comme pauvres derrière toi tu

As rassemblés et tu as réussi par là
Ce que bien des puissants ne purent faire La
Lumière c'est toi et tes seins dévêtus
 

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