Le poète n'est pas un pseudo-intellectuel capable d'ergoter sans le moindre plaisir durant trois heures sur un tercet de Virgile ou de qui sais-je d'autre, et qui passe, méprisant, sans un seul regard pour le jardin ou le sourire tendre de sa voisine, et étant, de plus, incapable d'écrire lui-même un simple tercet digne de ce nom.