vendredi 5 juillet 2013

APHRODITE


Aphrodite je me souviens de tes seins lourds
Qui entre mes mains se faisaient durs de désir
De ton souffle haletant et de tes yeux si bleus
Que j'avais l'impression de me trouver au cœur

D'un océan d'amour ce n'est qu'au petit jour
Quand la rosée nous perlait au coin des yeux
Que tu disparaissais avec un tel sourire
Qui pour le demi-dieu que j'étais si flatteur

Était en un nuage éclatant de lueur
Je priais nuit et jour attendant ton retour
Bâtissant des mondes des empires des tours

Et des machines pour sonder tout l'Univers
Tout cela je l'ai vu et l'ai fait mais le vert
De ta tunique est pour toujours ma vraie chaleur

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