"OTAN, suspends tes vols !",
implore le vieux poète afghan
"Des simplets en turban
Ont emmené mon fils aimant
Dans un de leurs camps
En lui récitant
trois versets
du Coran
Pour lui apprendre à combattre
d'autres simplets
blindés de kevlar
Dans nos montagnes qui n'ont plus connu la paix depuis deux cents ans
Et c'est aujourd'hui qu'il va mourir, je le sens..."
"Des simplets en turban
Ont emmené mon fils aimant
Dans un de leurs camps
En lui récitant
trois versets
du Coran
Pour lui apprendre à combattre
d'autres simplets
blindés de kevlar
Dans nos montagnes qui n'ont plus connu la paix depuis deux cents ans
Et c'est aujourd'hui qu'il va mourir, je le sens..."