Est complet seul celui qui détient l’œil d’Horus
Cet œil qu’il perdit dans un combat contre Seth
Le gauche pour être précis Coupé en sept
Ce dernier lui rendu fut dans des papyrus
L’oncle ennemi pareil à un obscur virus
Revient toujours à l’assaut comme avocette
À la pêche sur les bords du très grand Nil cet
Inlassable fleuve nourricier Des rictus
Lui tordent la face sa fureur insatiable
Lui ayant fait perdre l’esprit c’est indéniable
Pour nous en défendre saisissons un oudjat
Puissant symbole de divine protection
Face aux forces du mal qu’il est l’indélicate
Illustration ainsi que de toute abjection