À Dieudonné M’Bala M’Bala
Petit poney toi qui gambades dans les prés
Sans vraiment te soucier du temps ou de la mort
Tu te rendras compte certainement tard fort
D’à quel point ils te l’ont profondément glissée
Leur quenelle Car oui ils se moquent taré
Bien de ta vie comptant à chaque jour tout l’or
Que leur rapporte ta sueur Que dire encore
De plus si tu n’as pas compris qu’ils t’ont floué
En beauté te faisant miroiter la retraite
Une jolie villa en bord de mer la fête
Permanente cela n’était qu’une carotte
Pour que tu avances dans le tracé chemin
Sans jamais en sortir Maintenant tu ergotes
T’imaginant que tu seras heureux demain