Sous son air bonhomme et sa longue barbe grise
Se cache un boucher de son siècle le plus grand
Peut-être Ils le tairont mais pour combien de temps
Ses statues sont déjà écartées de la brise
Et les longs boulevards où les fleurs de cerise
Dansent joyeusement lors de chaque printemps
Ont oublié son nom depuis assez longtemps
Mais il résonne encore en des cœurs sous emprise
Ceux de celles et ceux sans nulle main à tendre
Vers le ciel dont ce roi devait être le tendre
Représentant Toi qui reposes aujourd’hui
Au fond d’une crypte toi seul connais tes crimes
Et tes bonnes actions oui toi seul sais le prix
Payé par ton âme jusqu’au moindre centime