Un chant retentit en les âmes des croyants
Aux jours de soleil et illumine leurs jours
De pluie en effaçant ainsi et pour toujours
La morosité de leur cœur qui ondoyant
À présent sur un grand océan foudroyant
Ne peut plus être atteint par rien même au séjour
Le plus infernal qui soit colmatant l'ajour
Percé en ce vitrail par le démon broyant
Impitoyablement les vies une à une
Ce chant est bien celui de Daniel ou d'une
Certaine Fatima implorant le haut ciel
De l'épargner ou de lui donner descendance
Nombreuse et digne de son rang L'artificiel
Savoir le méprise tout comme l'ignorance