Lors de son procès, l'étranger prit la parole puisqu'on le lui demandait et dit, provocant à nouveau l'ire des magistrats présents :
- Si j'ai été triste lorsque j'ai appris que ma mère était morte ? Disons que j'ai sangloté trois minutes, et puis voilà...
- Si elle me manque ? Non, absolument pas...