Évite autant que tu le peux les mécréants
Ces êtres sans foi ni lois qui sont plus perdus
Qu’autre chose tenant à te voir assidu
Suivre les délires des enfants du néant
Ils sont condamnés au plus grand gouffre béant
Et voudraient t’entraîner avec eux éperdus
Cracheurs de venin de haine bien entendu
Laisse-les s’éteindre d’eux-mêmes malséants
Et prie pour leur âme et leur souffrance prochaine
Car il leur en faudra des saisons pour leurs chaînes
Briser se libérer de l’immense prison
Qui les attend Ils rient mais il est bien trop tard
Quand ils comprennent que par un très noir poison
Ils ont été touchés ces ignobles bâtards