À Najoua Belysel
Ô Gabriel porteur des meilleures nouvelles
Quel plaisir que de te voir après tant de temps
Ta pure lumière et ton sourire éclatant
Sont pour moi archange dont la force est si belle
Une réjouissance un bonheur éternel
Tes mots sont si doux et souvent si palpitants
Lorsque tu racontes tes combats exaltants
Sur le champ de bataille ou contre les rebelles
Que mon esprit se met à chanter et danser
En songeant aux exploits qui vont un jour chasser
Pour de bon les démons ô maître des légions
Un souffle de vent et te voilà disparu
Pour des années ou pour toujours grande affliction
Ton souvenir est comme un espoir incongru