À Paul Valéry et Hayao Miyazaki
Comme le vent se lève il faut tenter de vivre
Et ce malgré l’État plus ou moins tyrannique
Dans lequel on se le doit Face aux lois iniques
Et aux rires du monde un souffle léger livre
Son lot d’espérance et d’espoirs malgré les ivres
Et tristes errances des pour le moins cyniques
Politiciens ou des prélats sataniques
Qui nous enserrent le cœur plus fort que le givre
Voici maintenant la plus sévère tempête
Emportant tout comme le souffle du Poète
Qui pouvait défaire d’un seul vers des empires
Quand le calme sera revenu n’oublie pas
De remercier Dieu quand simplement tu respires
Quand l’on te propose le plus simple repas