À Friedrich Nietzsche
Ô toi grand philosophe incompris par son temps
Et même les suivants voici un grand hommage
Que je te rends ici ô enchanteur ô mage
Tes mots sont si beaux ces mots que l’on aime tant
Voilà le bon soleil il se lève exaltant
Ouvrons un nouveau livre osons un neuf ramage
Qui n’entraînera plus de quelconques dommages
Préparons-nous pour cet univers palpitant
L’esprit crée le monde malheur à qui l’ignore
Il est enfin venu le moment de l’aurore
Crépuscule pour les faux dieux plébéiens
Oui c’en est bien fini du vieux mal du vieux bien
La liberté entre tout comme la grandeur
Prosternons-nous avec respect point de candeur