jeudi 18 février 2010

Jacques Izoard


Jacques Izoard

Je me souviens de toi, Izoard,
Avec ton regard d'enfant sur le monde et
Cette confiance en tes semblables
Qui ne te rendaient pas toujours ce que tu leur offrais...
Un jour, au sommet de notre colline,
Et alors que tu partais à l'aventure, nous nous
Saluâmes, sans savoir que ce serait pour la dernière fois...

Il est une fontaine à Liège qui coule au son de ta voix, ne l'oublie pas !
Zweig et tant d'autres sont partis tourmentés
Ou torturés ; quant à toi, j'
Aime à penser que c'est en paix que tu
Rejoignis l'éternelle demeure des poètes.
Delmotte, oui, je pense à toi...

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