À Gaston Leroux et Rupert Julian
Au fond des caves d’un gigantesque opéra
Se terre un vaporeux invisible fantôme
Souffrant de sa laideur que vraiment aucun baume
N’est capable d’ôter pire que choléra
Lui qui est amoureux de quelques petits rats
Pas ceux des égouts dont il connaît fort l’arôme
Cela lui pose des tracas nombreux ses psaumes
Ne pouvant le sortir de son triste embarras
Étant rejeté par ses semblables comme un
Pestiféré ou un forçat de droit commun
Il ne peut que sombrer dans la pure folie
Qui pourrait le sauver cet être n’étant pas
Coupable du moindre crime Mélancolie
Je voudrais tant l’aider devenir son compas