Craignez sa colère car il est intraitable
Le grand maître du temps Vous vous croyez plus fort
Il se jouera de vous sans aucun effort
Vous vous pavanerez Ce sera regrettable
Il n’est d’être qui soit plus que lui respectable
Mais vous n’écoutez pas vous croyant matador
Alors que vous n’êtes que poussière d’or
Entité précieuse nullement redoutable
Mille de vos vies ne sont pour lui que secondes
Tu ris tu chantes tu joues tu te dévergondes
Puis lentement tu meurs sans rien te demander
Il t’observe tu le nargues et le méprises
Il est trop patient et ladre de réprimandes
Alors que s’il le veut d’un seul mot il te brise