À Céline Dion
Dès l’instant où nos voix chantent à l’unisson
Rien n’est vraiment fini Tu peux être si loin
Au bout d’un continent truffé de maringouins
Ou sur une planète opaque nos frissons
Seront bien les mêmes sans perdre aucun soupçon
De nos émotions du premier jour tout au coin
De ce feu si ardent le ciel en est témoin
Tout comme de nos jeux insouciants polissons
Oui ferme les yeux et je serai là vraiment
Auprès de toi à tes côtés tel un amant
Un ami un frère n’oublie jamais cela
Car viendront des jours où les lourds nuages gris
Te sembleront épais si épais qu’au-delà
Tu ne pourras rien voir Ne sois donc pas aigrie