Ce n’est pas de l’eau qui perle au coin des beaux yeux
Des déesses et des reines mais des diamants
Lorsqu’elles perdent leurs très robustes amants
Faisant la richesse de nombreux envieux
Pour les récolter nul besoin de les pluvieux
Jours attendre elles vous en feront talismans
Et vous les offriront car pour elles vraiment
Elles sont sans valeur comme un meuble fort vieux
Décrépit par l’âge et que l’on a oublié
Au fond d’un cagibi ou des mets avariés
Laissés trop longtemps dans un cellier humide
Oui leur navrement est si grand que rien ne peut
Leur mettre du baume au cœur À moins qu’un timide
Poète ne vienne les consoler un peu